Sous les projecteurs, le glamour. Dans l’ombre, les secrets. À La Ciotat, les murs du Studio Lumière en ont vu passer des espoirs et des désillusions. Mais cette fois, c’est Victoria Vargas (Joy Esther) qui revient affronter son passé et tenter de protéger sa fille Baya (Louve Le Coadou) des pièges du monde du spectacle. Entre flashbacks et faux-semblants, la nouvelle série “Tout pour la lumière” dévoile une fresque familiale où la scène devient une arène, et où chaque note de musique peut réveiller des cicatrices enfouies.

Un jeu de miroirs entre succès et déclin

Victoria, ex-star de la chanson, revient à La Ciotat pour soutenir sa mère Florence (Isabel Otero), tenancière du Studio Lumière. Mais au-delà des retrouvailles, ce retour marque la confrontation avec des souvenirs qu’elle aurait préféré oublier. Sa fille Baya, quant à elle, voit en ce studio une rampe de lancement vers la gloire. Quitte à emprunter les mêmes chemins tortueux que sa mère.

 

Casting : Un carrefour de générations

La série réunit un casting qui mélange figures établies et nouvelles têtes. Joy Esther, Lannick Gautry, Gilles Cohen ou encore Isabel Otero croisent la route de jeunes espoirs issus des télé-crochets : Gwendal Marimoutou, Vike et Charlie Loiselier. Un carrefour où les rêves de gloire se heurtent aux réalités du show-business.

La Ciotat : Un décor chargé de souvenirs

Les studios de la Belle de Mai et les paysages de La Ciotat servent de cadre à cette série où la musique devient le langage des émotions refoulées. Chaque scène est une occasion de confronter les personnages à leurs choix passés, dans une atmosphère à la fois lumineuse et oppressante.

Un format innovant pour une double diffusion

90 épisodes de 25 minutes. Un rythme soutenu où chaque épisode lève le voile sur un nouveau secret. Netflix propose les épisodes cinq jours avant TF1, une stratégie qui pourrait capter à la fois le public des séries à binge-watcher et les amateurs de feuilletons quotidiens. Pour le moment, aucune date de diffusion n’a été communiquée officiellement : il faudra donc se contenter d’un petit “prochainement”.