Le mois de mars s’ouvre sur une série qui ne laissera pas les abonnés Netflix de marbre. Mais attention, ce nouvel original n’est pas à mettre entre toutes les mains. S’adressant à un public majeur, “The Guardians of justice” peut comporter quelques scènes qui peuvent choquer les jeunes amateurs de super-héros.

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Une oeuvre à la forme hybride et déconcertante

Au delà de son contenu, la série composée de sept épisodes se démarque essentiellement par sa forme hybride et iconoclaste. En effet, mêlant scènes en live action et techniques d’animations 2D,  elle ne répond pas vraiment aux codes traditionnellement employés dans les séries de super-héros. D’ailleurs, aucun des personnages de ce programme ne font partie de l’univers DC ou bien encore de Marvel.

 

Alors à qui doit-on cette oeuvre singulière ? Aux commandes de “The Gardians of Justice” l’on retrouve Adi Shankar. On lui doit notamment l’adaptation en série animée  du jeu vidéo Castlevania. Il a également produit le  Dredd d’Alex Garland.

 

De quoi ça parle ?

“Le super-héros extra-terrestre Marvelous Man s’est occupé de maintenir la paix sur Terre pendant quarante ans. Mais lorsqu’un secret dévastateur plonge subitement le monde dans le chaos, le lieutenant violent de Marvelous Man, Knight Hawk, et le bienfaiteur idéaliste The Speed doivent empêcher une guerre nucléaire.”

The Guardians of Justice ne fait pas consensus… et ce n’est pas étonnant !  (Avis des internautes)

Et comme tout objet expérimental,  The Guardians of justice” divise et déconcerte. A peine sortie que déjà la série fait “jaser” sur les réseaux sociaux. Aves pareil parti pris esthétique, il eut été étonnant qu’elle fasse consensus. Vous l’aurez compris : à moins de faire soi même le voyage, vous ne pourrez guère savoir si l’oeuvre en est une ou pas… ou à tout le moins, si elle mérite le détour 😉