Préquelle de la série à succès Yellowstone porté par Kevin Costner, 1923 vient de faire une entrée remarqué dans l’hexagone grâce au streamer Paramount+. Diffusé outre atlantique en décembre dernier, ce drame  décliné en huit épisodes nous plonge au temps de la prohibition et devrait faire la joie de tous les amateurs de western.

Lire également : Rabbit Hole : que vaut cette série à suspens avec Kiefer Sutherland disponible sur Paramount+ (Avis)

Un casting de haute volée pour ce second spin-off de “Yellowstone”

Après 1883, ce second spin-off vient donc étendre l’univers de Yellowtone et tout comme ses prédécesseurs, la série dérivée s’est entourée d’un casting cinq étoiles : après être apparu dans la série Apple TV+Shrinking, le légendaire Harrison Ford revient à nouveau sur le devant de la scène dans le rôle titre de 1923 aux côtés de Helen Mirren (connue et primée aux Oscars pour son interprétation de la reine Élisabeth II dans le film The Queen). Le reste de la distribution est, quant à elle, composée d’une myriade de talents comme Sebastian Roché, Darren Mann ou bien encore James Badge Dale.

De quoi parle “1923” ?

1923 suit une nouvelle génération de Dutton. Jacob doit apaiser un conflit entre éleveurs de bétail. De son côté, Cara explique à Liz quels sacrifices elle devra affronter pour épouser un Dutton.

 

Une saison 2 est-elle prévue ?

La réponse est oui. Le tournage de la saison 2 de 1923 a même commencé. Sa date de sortie est estimée pour l’automne 2023 ou l’hiver 2024.

Que pensent  la presse et les internautes de “1923” ? (Avis)

Disponible depuis ce dimanche 2 avril 2023, la série arrive certes à rebours par rapport à sa diffusion en décembre aux Etats-Unis, mais ce délai n’en gâche pas moins le plaisir des internautes et de la presse qui chantent déjà les louanges des deux premiers épisodes mis en ligne.

La presse est, quant à elle,  emballé et qualifie ce nouvel original tour à tour  de “Crépusculaire et violente” (Télé Loisirs), “western aussi beau que violent” (Les Echos), “à la hauteur des attentes” (Le Monde).